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Développés par le laboratoire GlaxoSmithKlein, les comprimés Zyban sont un précieux soutien pour les personnes entamant un sevrage tabagique. Traitement en lien direct avec le système nerveux central, Zyban a été développé pour aider l’organisme à se détacher de sa dépendance tabagique. Durant cette période délicate, il est important d’atténuer les désagréments engendrés par le manque. Pour faciliter cette démarche, Zyban est proposé sous la forme de comprimés à libération prolongée.
Zyban : pour quel usage ? Se sevrer du tabac, malgré une volonté à toute épreuve, est difficile pour beaucoup de personnes. Cette période de transition dure généralement plusieurs semaines, de 7 à 9 selon les patients. Les effets du manque se font ressentir rapidement et sont souvent difficiles à gérer. L’objectif du Zyban est d’atténuer ces symptômes de manque afin que la personne puisse traverser son sevrage sereinement.
Les symptômes de manque s’apparentent à la douleur. Il s’agit de messages transmis via le système nerveux central. En activant certains neurotransmetteurs, le Zyban émet des messages contraires au corps, dans le but de lui faire oublier le sevrage qu’il est en train de subir. Sans cette pression permanente, il est plus facile de renoncer au tabac. Le désir de fumer s’estompe de lui-même en quelques semaines.
Le premier réflexe à acquérir lorsque l’on débute une cure de Zyban, est le contrôle régulier de sa tension. Ce critère est important et détermine la posologie du traitement.
Outre cette précaution de base, qu’il conviendra de perpétuer durant les trois mois de traitement, il suffit de :
Au moment des prises, boire un verre d’eau facilite l’assimilation du comprimé. Il est aussi recommandé d’attendre un minimum de 8 heures entre deux prises de Zyban. La dernière prise de la journée doit être programmée quelques heures avant le coucher, afin d’éviter de perturber la qualité du sommeil. Enfin, il est important de ne jamais dépasser le dosage prescrit.
Avant d’entamer un traitement de sevrage à base de Zytan, il faut assimiler toutes les informations pertinentes, y compris les effets secondaires éventuels. Par exemple, il n’est pas rare de rencontrer divers troubles du sommeil, dès le début du sevrage et pendant toute la durée de celui-ci. L’endormissement devient difficile, surtout si le comprimé de Zyban est pris à une heure tardive. Plus rarement, le patient peut subir :
L’arrêt du tabac est une étape souvent difficile pour les patients. De ce fait, certains médicaments sont proposés, en soutien. C’est le cas du Zyban mais ce dernier nécessite, non seulement un suivi médical mais aussi une ordonnance.
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